Il était huit heures lorsque l'alarme retentit dans la chambre de Miss Bennett, qui donna un coup sur le réveil-matin, qui se retrouva sur le sol la seconde d'après avec un bruit fracassant. Ce maudit alarme l'avait extirpé des bras de Morphée. Elle maugréa quelques mots incompréhensible entres ses dents avant de sortir de son lit avec toute la lenteur du monde et de se diriger vers la salle de bain. Une quinzaine de minutes plus tard, April sortit de la douche, une serviette autour de son corps et se dirigea vers sa penderie ou elle en sortit un jean et un débardeur de couleur clair qu'elle enfila. Elle s'approcha du miroir, se maquilla légèrement et de coiffer sa chevelure blonde qu’elle laissa retombé sur les épaules. La jeune miss jeta un dernier coup d'œil à son reflet et s'empara de son sac et de ses clés, direction les salles de cours
Durant tout le long du cours de maths, la jeune April avait préféré ne pas écouter un mots de ce que raconter la chère professeur Sawyer. La jeune miss avait opter de faire des esquisse sur une feuille blanche, non pas qu'elle était une artiste, mais c'était pour faire passer le temps. Ce n'est que lorsque la sonnerie des cours retentit que la jeune femme éprouva un sentiment de soulagement car oui, elle ne voulait pas assister à ce cours. Mais voila, la jeune cheerleader avait tellement sécher les cours de maths qu'elle allait bientôt écoper d'un avertissement si elle n'était pas venue aujourd'hui. April était l'une des première personne à franchir le seuil de la porte sous le regard noir du professeur qui ne l'avait jamais vraiment aimer, mais la elle s'en fichait.
April marchait dans les couloirs bondé, en direction de son casier où elle déposa son livre de maths avant de prendre la direction du hall d'entrée pour aller prendre l'air dans la grande cours. Alors qu’elle se retourna elle bouscula une personne. Elle fit volte face et vit Julia Fergone, une cheerleader avec qui elle parlait de temps en temps durant les entrainements mais rien de plus.
Ah c'est toi Julia ! Tu vas bien ?
Comme d’habitude lorsqu’elle bousculait quelqu’un, elle ne s’excusa pas mais préféra arborer son plus beau sourire et de saluer la personne.